Publié à 14 h 52 min par Salema Weyard, le décembre 9, 2020
Facebook… Je me souviens avoir ouvert mon compte lorsque j’étais en Licence 2, à force que l’une de mes amies insiste. C’était en 2008! Depuis, je n’ai jamais désactivé ou supprimé mon compte personnel. Il a juste changé au fil des années.
Au commencement, Facebook fut pour moi un moyen de voir ce que devenaient les gens du lycée et de partager quelques photos, une sorte d’Instagram en quelques sorte. Et puis cela permettait de donner des nouvelles groupées lorsque l’on partait en vacances.
Il est ensuite devenu un lieu de discussions, ente les groupes de la fac puis les collègues de thèse … Cela permettait aussi toujours de conserver le contact avec des personnes que l’on avait moins le temps de voir ou qui étaient loin. J’ai encore un peu partagé des photos, notamment de notre mariage puis de notre voyage de noces. C’était bien pratique pour donner des nouvelles.
Et puis, les années ont passé et peu à peu j’ai supprimé de plus en plus de données. Pourtant, je n’avais aucune photos à cacher. Mais ce besoin qu’à la jeunesse de partager et de s’exposer c’était évaporé. Je ne laissais que quelques photos clés et quelques paysages à admirer. Je quittai des groupes et ma liste « d’amis » j’ai largement épuré.
J’y ai crée ma page auteur par rapport à Instagram, mais j’avoue, je ne la fais vivre que très peu. Désormais, sur Facebook, je n’y vais que très peu. Pourquoi, j’y reste me direz-vous? Hormis l’habitude, douze ans c’est long, j’y suis les actualités du village mais aussi quelques proches et pages d’autres artistes. C’est tout. De temps en temps, je change le paysage de ma photo de couverture. Mon activité s’arrête là désormais.
Contrairement à Twitter et un petit peu Instagram, je suis un quasi fantôme sur Facebook, ce réseau sur lequel autrefois je passais beaucoup de temps. Je jouais même aux jeux à cette époque-là, c’est vous dire! Pourtant, je ne regrette ni le réseau passé, ni son évolution jusqu’à présent. Il a évolué et moi aussi. Est-ce qu’un jour je supprimerai mon compte? Peut-être, qui sait. Mais ce n’est pas prévu dans l’immédiat. Facebook est un peu comme ce très vieil ami avec lequel on ne tourne pas la page même si on ne lui parle plus vraiment.
Publié à 15 h 39 min par Salema Weyard, le novembre 30, 2020
Psycho Love, le premier recueil que je publie, un petit recueil d’un peu plus de 27000 mots soit 30 chapitres. Ici, j’ai eu envie de me lancer dans un exercice bien différent de d’habitude. J’ai écrit dix mini histoires en dix semaines (pour le premier jet). C’était aussi perturbant qu’intéressant de changer d’univers chaque semaine, bien que fatiguant à la longue. Je ne ferai clairement pas ça tous les jours! Toutefois, cela m’a beaucoup amusé!
Psycho Love est aussi le premier écrit pour lequel je ne me charge pas du design (couverture, 4ème de couverture et images intérieures). C’est donc une publication vraiment remplie de nouveautés à tous les niveaux!
Ici, j’avais envie d’écrire de la romance mais de façon décalée. Je voulais montrer des tranches de vie entre deux assassins et des mots d’amour entre créatures.
Cette playlist correspond en fait aux épigraphes de chacune des nouvelles. Une chanson correspond à l’un des textes. Je me suis énormément amusée à écrire inspirée ainsi par la musique.
J’espère que ce recueil fantasy vous divertira autant que moi. Il est disponible gratuitement en ebook sur Kobo et Bookelis, ou en ligne sur Wattpad.
Publié à 19 h 50 min par Salema Weyard, le novembre 11, 2020
Après Twitter et Instagram, c’est au tour de Pinterest. Contrairement aux deux autres, je n’interagis pas avec les autres utilisateurs sur cette plateforme, car cela ne me semble absolument pas naturel. L’endroit ne me donne pas envie de discuter bien que je sois abonnée à quelques comptes.
J’utilise Pinterest comme une mini vitrine, pour afficher les images présentes dans mes articles de blog et mes couvertures de romans. Mais, plus que tout, Pinterest me sert à m’évader, à créer et à imaginer. Je ne pense pas me tromper en disant qu’il s’agit du seul site capable de m’absorber au point de me faire perdre la notion du temps. D’un univers à l’autre, d’image en image, en mon esprit germe une multitude d’idées. Nouveaux personnages, créatures lieux ou tout simplement une ambiance ou une recette de cuisine. Moi qui, depuis toujours, passe plus de temps dans mes rêves que dans la réalité, Pinterest est un lieu rêvé pour mon esprit fatigué. Il peut y errer sans s’épuiser ; nourrissant encore et encore ma créativité.
Publié à 11 h 01 min par Salema Weyard, le novembre 4, 2020
Depuis toujours, j’écris et je travaille en musique car cela m’aide à me concentrer sur la tâche à accomplir. Ainsi, c’est tout naturellement, que chacun de mes récits s’est approprié une chanson en particulier. Il en est de même pour quelques personnages. Des histoires, telles que Psycho Love, ont carrément une playlist dédiée. Dans cet article, j’ai décidé de vous faire découvrir mon univers et les chansons associées.
1-Magnolia
Nightwish, « Over the hills and far away »
Nightwish est probablement mon groupe préféré. Ici, je n’ai pas vraiment d’explication rationnelle quant au choix de la musique, si ce n’est que c’est celle qui m’inspirait le plus pour ce récit.
2-Combat pour vivre
Hoobastank, « The reason »
La chanson s’est imposée d’elle-même dans mon esprit tant les paroles représentent, à mes yeux, le point de vue de Terrence vis à vis de Sebastian. Sinon,Terrence aime entendre son compagnon chanter mais il n’a pas envie de le lui avouer.
3-Il a dit
Alvin, « Il a dit »
Pour la petite anecdote, le titre du roman fait littéralement référence à cette chanson.
4-Callista
Halestorm, « Freak like me »
Halestorm est, après Nightwish, probablement mon second groupe préféré. J’imagine très bien Callista, notamment à l’époque où elle a rencontré Telly, se déchaîner sur cette chanson.
5-Le Temps dans ses yeux
Shania Twain, « Man! I feel like a woman »
Les paroles n’ont pas de rapport, mais je ne sais pas, il y a quelques chose dans le rythme, dans le clip et dans le titre qui me faisait sans cesse penser à Winnifred dans son atelier.
6-Paris n’existe plus
Nightwish, « The crow the owl and the dove »
Bon, déjà, j’adore, mais alors j’adore cette chanson. Et en fermant les yeux, je pouvais parfaitement me représenter Lawrence et Archibald en l’écoutant, imaginer leurs scènes.
7-Psycho Love
Ce recueil est basé sur une playlist de dix chansons. À chacune d’entre elle sera associé une nouvelle. Je vous en dirai plus à la fin du mois, lors de la sortie officielle !
8-Entre ombre et lumière
The Pretty Reckless, « House on a hill »
Cette chanson m’a toujours rendu à la fois mélancolique et rêveuse, je la trouvais donc parfaite pour ce recueil.
9-Lullaby
Avril Lavigne, « Nobody’s home »
C’est en entendant cette chanson que j’ai imaginé le pitch de ce (court?) roman qui sortira en 2021. J’en avais entamé l’écriture il y a un ou deux ans, mais je n’étais pas encore prête pour ce projet, alors que maintenant je me sens d’attaque face à un univers et un style inédit pour moi. Je m’imagine tellement les deux personnages principaux déambuler dans l’hôpital psychiatrique abandonné sur cette mélodie…
10-Avant toi
Pink, « Fuckin’ Perfect »
Il s’agira de la préquelle de Combat pour vivre. Elle devait sortir en 2019, mais je n’ai pas aimé les chapitres que j’avais écrit et j’ai décidé de laisser le texte mijoter avant de le reprendre. La chanson correspond parfaitement bien à l’ambiance du récit. «Tu es parfait comme tu es malgré ce qu’on a pu te dire, ce que tu as pu te faire ou les épreuves.» Et bien entendu cela fait écho à la relation de Terrence et Sebastian dans le présent.
Publié à 16 h 50 min par Salema Weyard, le octobre 7, 2020
À l’école, déjà, je n’aimais pas les limites de pages ou de mots pour des dissertations. Pourquoi entraver l’imagination? Trop court ou trop long, ma jeunesse ne comprenait pas l’importance de telles restrictions. Et aujourd’hui encore, lorsque j’écris, je n’aime pas compter ni me battre avec des calculs compliqués. Chaque histoire, avant de la commencer, je n’ai aucune idée de combien de chapitres elle sera composée ou de combien de mots elle sera fabriquée. Ces chiffres changent au gré de l’évolution des personnages et du récit et me servent juste de vague repère pour vous dire où j’en suis dans l’avancement d’un projet. Parce que dans ma tête, je me dis «j’en suis à telle action ou évènement, il me reste ça et ça avant la fin». Jamais je ne me donne un objectif de mots. C’est l’une des raisons pour lesquelles je ne participe jamais au NanoWrimo.
Je ne veux pas compter les mots quand j’écris. Je note simplement leur total, à la fin, pour savoir combien de pages ferait approximativement une version papier. Par curiosité, avant d’imprimer. Mais jamais, les mots, je ne souhaite compter. Dix, mille ou cent mille, chaque récit contiendra le nombre qu’elle mérite. Ni plus, ni moins. Sans pression et sans attente.
Les chiffres, les statistiques de mes téléchargements d’ebooks et de lectures sur Wattpad, je les regarde très peu. Pas de course, pas de pression. Juste le bonheur d’être lue quelque soit le résultat. Comme je le dis parfois, je souhaite juste que mes personnages et mon univers puissent voyager et être découvert. Et pourquoi pas, toucher des lecteurs/lectrices. Mais scruter les statistiques, non merci. Je laisse le temps au temps, celui de permettre à mes récits de faire leur chemin. Même s’ils avancent aussi doucement que moi, ce n’est pas bien grave. Juste le bonheur d’être lue.
Le nombre de likes, de RT, d’abonnés/d’abonnées … j’ai toujours refusé de m’en inquiéter. Comment je vous le disais par le passé, avec vous, j’aime partager. Partager mes projets, mon univers, mes créations. Alors, bien entendu, je suis heureuse lorsque je peux toucher le plus grand nombre. Mais sinon, ce n’est pas grave. Bien sûr, lorsque je change de palier de nombre d’abonnés, je vous le fais remarquer et ce, avant tout, pour vous remercier. Vous remercier de me suivre, malgré le fait que je veux juste partager et que des chiffres, je n’aime pas me préoccuper.
Je sais qu’aujourd’hui l’on vit dans un monde où l’on adore compter. Combien as-tu d’abonnés? Combien de commentaires? De RT? De likes? Combien as-tu écris ce mois-ci? J’en vois, dans ce tourbillon, se faire emporter et d’autres qui semblent apprécier. Mais moi, ce n’est pas ma réalité. Les chiffres peuvent bien défiler et le temps passer, ça ne m’empêchera pas de rêver, d’écrire et d’observer les oiseaux voler.
Publié à 14 h 42 min par Salema Weyard, le septembre 23, 2020
Dans le premier article consacré à cette série, je vous donnais mon point de vue sur Twitter. Cette fois, c’est au tour d’Instagram!
J’ai toujours aimé, même enfant, prendre des photos, même si à l’époque c’était bien moins facile qu’aujourd’hui (je pense notamment aux appareils jetables qu’il fallait faire développer). J’aime l’idée de capturer des instants et des souvenirs que notre mémoire imparfaite pourrait un jour effacer. Les photos sont aussi pour moi une source inépuisable d’inspiration pour mes écrits.
Alors pour moi, Instagram est vraiment un réseau social qui me permet de découvrir des tas de photographies dans des univers différents. Que ce soit la nature à l’autre bout du monde, des tatouages ou des plats, cela nourrit mon imaginaire. Mais les influenceurs et influenceuses, par exemple, ne m’intéressent pas. Je me moque pas mal du quotidien des «stars» ou de vivre par procuration. Je ne veux pas choisir mes activités par rapport à Instagram. Quelle idée? Rien ne vaut le moment présent à mes yeux. Observer de mes yeux les papillons qui volent dans le jardin et, ma foi, si je remarque une fleur qui me plaît, vous la partager. Juste pour vous montrer ce petit morceau de beauté. Parce que ça me rend heureuse, alors je me dis, peut-être que vous aussi.
Sur Instagram, je n’aime pas vraiment faire la promotion de mes récits, ou plutôt, le support ne me correspond pas. Parce que, pour ça, il faudrait penser et créer une jolie mise en scène. Souvent. Une fois ou deux, je veux bien jouer le jeu. Mais trois fois, mon esprit ne s’y plierait pas. Sur Instagram, mon monde, je préfère vous partager. Parfois, les photos ne sont pas parfaitement cadrées et je les ai rognées car mon bras a tremblé. Mais la beauté de l’instant est préservé.
Je sais qu’ainsi, je n’aurai jamais beaucoup d’abonné·e·s sur Instagram et je ne m’en plains pas. Dans les jardins d’Instagram j’aime me promener, mais pas me perdre hors de la réalité.
Publié à 19 h 07 min par Salema Weyard, le septembre 21, 2020
Aujourd’hui sort mon premier roman de l’année, intitulé Paris n’existe plus. L’histoire se déroule exclusivement à Paris entre 1881 et 1887, dans un univers mêlant steampunk, fantasy et mythologie française (oui, oui), sous fond de romance MM. Il est découpé en 20 chapitres + un épilogue et compte 58200 mots (mon record, jusque là détenu par Le Temps dans ses yeux). Cela correspond à environ 235 pages. En bonus, il y aura deux cartes: l’une de Paris avec les arrondissements revisités et une de la maison des personnages, ainsi que deux dessins: une de la maison et une d’Alfy, le merle d’Archibald. J’ai aussi ajouté, à la fin, comme beaucoup me l’avait demandé (via un sondage Twitter), une liste détaillée de tous les sorts (noms, effets …) utilisés dans le récit.
Viendrez-vous découvrir la … Non, les catastrophes qui ont mené à la destruction de Paris en 1887? Si ces événements historiques vous rendent curieux, pourquoi ne pas venir suivre les aventures d’Archibald, Alfy et Lawrence pour en apprendre davantage?
Le roman est désormais disponible gratuitement sur Kobo et Bookelis en ebook (epub, pdf, mobi) ou en ligne sur Wattpad. Je vais aussi commander quelques versions papier, donc n’hésitez pas à me faire signe si cela vous intéresse!
Publié à 15 h 09 min par Salema Weyard, le septembre 16, 2020
Parce que ce n’est pas toujours facile de comprendre ou d’écrire un texte avec du vocabulaire médical ou scientifique que l’on ne maîtrise pas forcément, j’ai eu l’idée de préparer cet article sous forme de mémo. Pour l’anecdote, il s’agit d’un petit extrait d’un cours que j’avais donné (à l’époque où je pouvais encore travailler) à des étudiants pour les aider à mémoriser ce genre de termes.
1-Les préfixes
Préfixes
Significations
Exemples
aér(o)
Air
Aérosol
andr(o)
Humain
Androïde
arthr(o)
Articulation
Arthrose
brachy
Petit
Brachycéphale
brady
Lent
Bradycardie
cry(o)
Froid
Cryogénie
dactyl(o)
Doigt / orteil
Dactylographie
dys
Déficient(anormal)
Dyslexie
hémi
Demi
Hémiplégie
hypo
Déficient (bas)
Hypotension
hyper
Excessif (élevé)
Hypertension
my(o)
Muscles
Myalgie
nécr(o)
Mort
Nécromancien
odyn(o)
Douleur
Odynophagie (douleur à la déglutition)
onc(o)
Tumeur
Oncologie
osté(o)
Os
Ostéopénie
somat(o)
Corps
Somatique
tachy
Rapide
Tachycardie
Il en existe une liste interminable et indigeste. Ici, ce sont les plus courant mais aussi ceux que l’on peut retrouver facilement en littérature, notamment en SF ou la fantasy. Androïde, cryogénie, nécromancien ou nécrophage … Vous voyez ce que je veux dire?
2- Les suffixes
Suffixes
Significations
Exemples
-émie
Concentration dans le sang
Calcémie
-urie
Concentration dans les urines
Calciurie
-pénie
Manque, trop faible quantité, carence
Ostéopénie
-scopie
Action de voir
Fibroscopie, endoscopie
-tomie
Couper
Colostomie
-pathie
Maladie
Myopathie
-ase
Enzyme
Protease, polymerase
-ol
Alcool
Éthanol
-one
Cétone
Acétone
-ite
Inflammation
Gastrite, duodenite
-logie
Études, sciences
Biologie
-phile
Qui a une affinité pour
Hydrophile
-poïèse
Fabrication, production
Hématopoïèse
-algie
Douleur
Nevralgie
-ome
Tumeur
Myélome
-plégie
Paralysie
Hémiplégie
-pnée
Lié à la respiration
Dyspnée
Ce sont évidemment les suffixes les plus courant.
Prenez soin de vous et à bientôt.
Salema
PS: le prochain article, le 21 septembre, sera dédié à la sortie de mon roman, Paris n’existe plus!
Publié à 12 h 30 min par Salema Weyard, le septembre 9, 2020
Entre leur naissance dans mon esprit et leur arrivée entre vos mains, chacune de mes histoires a subi plus ou moins de changement. Personnages, événements, couvertures, fin … Voici un avant/après de mes écrits publiés en 2019 et 2020.
1- Les romances
Magnolia
AVANT
APRÈS
Quand Magnolia m’est venue en tête, je n’imaginais ça que comme une nouvelle très courte, sous forme d’articles de magasines. Mais, finalement, Andy et Amelia m’ont donné envie de raconter leur histoire. Sur la couverture finale, il s’agit vraiment de l’image que je me faisais d’Andy.
Combat pour vivre
AVANT
APRÈS
Cette réécriture totale d’un très vieux projet avait été un très bon moyen de me remettre dans le bain de l’écriture. J’avais finalement opté pour la seconde couverture car elle avait un côté à la fois mélancolique mais avec une touche d’espoir qui correspondait bien à la problématique du texte. Je n’ai pas encore réussi à écrire la préquelle car j’ai un blocage sur l’un des chapitres.
Il a dit
AVANT
APRÈS
J’aimais beaucoup la première couverture, mais elle ne correspondait vraiment pas à l’ambiance du roman. S’il avait s’agit d’une histoire plus axé mystères et horreur, je l’aurais gardé ah ah. J’ai donc opté pour la seconde, qui à mon sens, représentait parfaitement Alexander. J’avais prévu que l’histoire soit bien plus sombre, mais finalement, cela ne collait pas aux personnages.
2-Fantasy
Callista
AVANT
APRÈS
La première couverture aurait plus représenté Lilith que Callista et ne correspondait vraiment pas à mon personnage. Puis j’ai fait la seconde version et je suis vraiment tombée sous le charme. De toutes les couvertures que j’ai créée, c’est vraiment l’une de mes préférées. Ce livre est la novella de l’imprévu. Je n’avais vraiment pas prévu un seul instant de l’écrire mais, plus je pensais au pitch (une succube dans un couvent), plus j’avais vraiment envie de créer le personnage et de lui donner vie. Sans attendre. Cet écrit a eu plusieurs fins différentes avant que je ne parvienne à choisir. Étrangement, j’avais du mal à décider quel serait le destin de Callista.
3- Steampunk / Urban fantasy
Le Temps dans ses yeux
AVANT
APRÈS
La seconde version est, avec Callista, ma couverture préférée dans ce que j’ai pu faire. Dans la première version, j’avais voulu mettre en avant Winnifred, mais, au final, cela ne rendait vraiment pas justice à l’ambiance et au fond de l’histoire. J’avais vraiment besoin que l’on retrouve à la fois le côté de la Mort et celui du Temps. Dans la version que j’avais imaginé au départ, le personnage d’Hiroyuki était vraiment très secondaire et on le voit que très peu. Il avait d’ailleurs plus un rôle de domestique que d’assistant. Mais cette version ne me convenait pas et ne collait ni à l’histoire et surtout pas à Winnifred.
Paris n’existe plus (sortie le 21 septembre 2020)
AVANT
APRÈS
La première version de la couverture n’allait pas du tout et ne reflétait en rien la catastrophe qui allait toucher la capitale. J’ai mis un moment avant de trouver le style qui allait me plaire, mais finalement je suis super satisfaite du rendu de la seconde version ! Ça colle vraiment à l’impression que je voulais donner. Dans l’idée de base, Lawrence et Archibald étaient de simples humains confrontés à un événement surnaturel (de l’ordre de la mythologie), qui survenait lors d’un match de football au début des années 1900. Dans la version finale, il s’agit d’un druide et d’un ensorceleur dont l’histoire se déroule entre 1881 et 1887. Autant vous dire que cela a bien changé. Même la fin n’est plus la même. J’ai modifié cette dernière trois fois, avant d’en trouver une qui me convenait parfaitement.
4-Recueils (mix romance, fantasy, fantastique)
Psycho Love (sortie fin novembre 2020)
AVANT
APRÈS
Je n’aimais pas la première version, alors, pour la première fois, j’ai demandé à quelqu’un d’autre de s’occuper de la couverture (il s’agit de mon amie responsable de l’image de la bannière du blog et de ma photo de profil Twitter par exemple). Et j’aime tellement ce qu’elle a fait. Jamais je n’aurai pensé à une telle couverture, mais ça correspond parfaitement au côté décalé de ce recueil.
Entre ombre et lumière (sortie fin décembre 2020)
AVANT
APRÈS
Même histoire que pour Psycho Love. Ici, j’avais besoin de sobriété et d’élégance. Alors quand elle m’a montré cette version qui ressemblait à des paillettes d’or j’ai validé. Ce recueil est très particulier, car il sera un mélange de courts textes et de poèmes. Le ton sera sérieux, ce qui dénotera clairement avec Psycho Love qui sortira un mois avant.
Et voilà! Pour rappel, tous mes écrits sont disponibles gratuitement en ebooks sur Kobo et Bookelis, ou en ligne sur Wattpad. Tous les liens se trouvent ici.
Publié à 17 h 13 min par Salema Weyard, le août 30, 2020
Pendant quelques mois, j’ai eu une nouvelle phase de « je ne lis plus aucun bouquin » et, finalement, fin juin, avec le retour de l’été, je m’y suis remise. J’ai donc enfin pu vider un peu ma PAL! Voici donc mes lectures de cet été 2020.
1- Dîtes aux loups que je suis chez moi , Carol Rifka Brunt . Un roman aussi surprenant que dur. Bien que les thèmes ne soient en rien joyeux: le poids de l’homosexualité dans les années 80, la SIDA, les mensonges des parents … l’histoire est belle et on enchaîne les chapitres tant on veut connaître la suite.
2- Les trois romans Fairy Tail: Les couleurs du cœur, Les jumeaux du chaos et La créature mystérieuse.Les jumeaux du chaos m’a beaucoup plu, même si l’intrigue est très facilement devinable dès le départ.Pour les deux autres romans, je les ai plus survolés que vraiment lu dans le détail.
3- Emma, sa cousine et moi , Lizzy Brynn. Une très courte romance lesbienne tout en douceur. Ce fut une lecture très agréable et reposante.
4-Maybe someday , Colleen Hoover. Une romance pas niaise du tout et qui m’a beaucoup plu, notamment car elle était littéralement rythmée par de la musique. De plus, la présence de protagonistes handi bien décrits est un super plus. Grâce à ce roman, j’ai pu découvrir la plume de l’autrice et je n’hésiterai pas à me plonger dans d’autres de ses récits.
5- L’art de: Le voyage de Chihiro. Après avoir lu (et adoré) celui sur Mon Voisin Totoro, l’on m’a offert celui-ci. Tout comme l’autre, l’ouvrage est sublime et super intéressant si les coulisses de l’oeuvre vous intéresse.
6- Yamato Nadeshiko T.34, T. Hayakawa. Plus que deux tomes avant la fin! Même si la série est longue, je prends toujours autant de plaisir à chaque tome.
7-Le piège de Dante, A. Delalande. Je n’ai pas réussi à aller au delà de la première partie (et encore en me forçant), tant je n’ai pas aimé. Alors, il s’agit d’un don, mais le titre et la couverture me plaisaient beaucoup. Malheureusement, ni le style de l’auteur, ni le récit (beaucoup de description et d’Histoire) n’ont su me captiver. Ce roman s’en ira donc dans la boîte à livres de la médiathèque.